Le Groupe RFN sur le port de commerce de Rochefort.

En 2023 le Groupe RFN a pris la décision de travailler avec un partenaire sur le port de commerce de Rochefort afin de compléter son circuit économique et d’évoluer dans ses engagements environnementaux tout en ouvrant les portes du marché européen.

En savoir plus sur le port de commerce de Rochefort ?

Pourquoi cela complète une économie circulaire ?

Quelles évolutions environnementales ?

En savoir plus sur le port de commerce de Rochefort ?

Le port de commerce de Rochefort accueille des entreprises qui chargent et déchargent des marchandises conventionnelles ou vrac sur les navires de commerce. Plus de 200 cargos ont transité via la Charente en 2023 avec le port de commerce de Rochefort et Tonnay-Charente selon la radio Demoiselle FM et les présidents du syndicat mixte du port.

Pourquoi cela complète une économie circulaire ?

L’économie circulaire permet de mettre en valeur tout le processus de transformation de nos ressources qui sont les métaux ferreux et non-ferreux. Ce processus est valorisé grâce à nos collaborateurs qui apportent leurs expertises. 

Aujourd’hui, le groupe RFN se développe pour devenir un acteur important dans le cycle de vie des métaux. Nous nous positionnons comme un acteur engagé dans la boucle de recyclage à partir de l’achat des métaux auprès de nos fournisseurs (particuliers, professionnels, ou collectivités) jusqu’au chargement de ces métaux au port de Rochefort.

Travailler avec l’économie circulaire favorise la création de richesse sur le territoire de Charente et Charente-Maritime.

Quelles évolutions environnementales ?

Notre présence sur le port de commerce de Rochefort nous permet de diminuer notre empreinte carbone. Comment ? En envoyant un bateau livrer notre client, cela économise 140 trajets allers de camions. De plus, le transport maritime est plus propre que le transport routier, si vous souhaitez en savoir plus, nous vous conseillons d’aller voir l’article Le transport maritime est moins polluants ? 4 choses à savoir d’Agence Science.Presse.